BESOINS
LE RELÂCHEMENT CUTANÉ
Le relâchement cutané : qu'est-ce que c'est ?
Le relâchement cutané désigne une altération de la qualité de la peau caractérisée par une perte d'élasticité et de fermeté.
Cette condition résulte d'une diminution de la production de collagène, d'élastine et d'acide hyaluronique, qui sont des composants clés de la structure cutanée. Bien qu'il puisse toucher différentes parties du corps, comme le visage, le cou, les bras, les jambes et l'abdomen, son apparition et sa gravité peuvent varier en fonction de l'âge et des facteurs de risque individuels.
Le relâchement cutané : quelles en sont les causes ?
Le relâchement cutané est principalement causé par le processus de vieillissement naturel du corps, qui entraîne une perte de collagène, d'élastine et d'acide hyaluronique, qui sont tous des éléments fondamentaux de la structure de la peau. D'autres facteurs peuvent également contribuer au relâchement cutané, tels que le stress oxydatif, les dommages causés par le soleil, le tabagisme, une alimentation déséquilibrée, un manque d'activité physique, une perte de poids importante et rapide, ainsi que certains facteurs génétiques et hormonaux.
Le traitement pour le relâchement cutané
La radiofréquence fractionnée ablative Morpheus8 est une technique de médecine esthétique qui utilise des micro-aiguilles pour chauffer la peau en profondeur et stimuler la production de collagène, améliorant ainsi la texture et la fermeté de la peau.
Cette technique est très efficace pour traiter le relâchement cutané, car elle cible spécifiquement les couches profondes de la peau où se trouvent les fibres de collagène. Lorsque la peau est chauffée par les micro-aiguilles, les fibroblastes sont stimulés pour produire de nouvelles fibres de collagène, ce qui renforce la structure de la peau et lui donne une apparence plus ferme et plus tonique.
Les résultats de la radiofréquence fractionnée ablative Morpheus8 sont progressifs et significatifs après plusieurs séances. Ils peuvent durer plusieurs mois, voire jusqu'à 1 an, en fonction de la réaction individuelle de chaque patient et de la qualité des soins post-traitement.